Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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mercredi 31 mars 2010

LA SEVE DE BOULEAU D'HELENE

Pour tout savoir sur la sève de bouleau , ses bienfaits et ses vertus magiques, consultez le blog d'Héléne




"La sève de bouleau est l'espoir, le bonheur et la panacée des habitants riches ou pauvres, grands et petits, serfs ou seigneurs. "
Citation du chirurgien Percy



"C'est au printemps, lorsque toute l'énergie du monde se reconcentre après le sommeil hivernal, qu'il faut demander au bouleau ses bourgeons, ses feuilles, sa sève, ses chatons et son écorce."
Maurice Mességué


http://lejardindhelene.blogspot.com/2010/01/sortie-nature.html

http://lejardindhelene.blogspot.com/2010/03/pourquoi-consommer-de-la-seve-de.html


" pour Antoine, Victor, Charlotte, Titouan, un repas d'anniversaires pas comme les autres... L'ortie se mêle au poulet et au pain, le foin sert de cuisson aux pommes de terre, le sirop de sève de bouleau accompagne le lierre terrestre dans la sauce, la tanaisie relève le goût du chocolat dans le gâteau, la reine des près parfume la crème anglaise."
......et c'est un régal pour tous !



Merci soeur préférée pour ces bienfaits, ces bonheurs gustatifs .....et visuels !

http://lejardindhelene.blogspot.com/

mardi 30 mars 2010

ARMELLE DUMOULIN ET MA BELLE ISABELLE


A Beauvais j'ai non seulement les yeux de ma belle Isabelle ....mais aussi ses oreilles !

Hier soir elle assistait à un concert d'ARMELLE DUMOULIN au NOTA BENE et m'a envoyé ses paroles qui m'ont données envie d'en savoir un peu plus


Je n’suis pas doué pour tout

Mais j’ai des amis partout

La chaise le lit la fenêtre

Affirment me reconnaître






Ecoutez sur son site quelques chansons :



et ..................................................................................................

Amis nous vous attendrons nombreux entre 18 H et 20 H !
Vous savez c'est ce soir au Bocal à Reims !




dimanche 28 mars 2010

VERNISSAGE AU BOCAL LE MARDI 30 MARS 2010












IL Y AURA DES HUÎTRES  ET DE LA SOUPE DE POISSONS !
UN VERNISSAGE DE CHOIX !
UN VERNISSAGE ORIGINAL ET FORCEMENT DÉLICIEUX
 

samedi 27 mars 2010

VENDREDI ROSE : PHILIPPE PRIASSO DANSE SUR LE PARVIS DE LA CATHEDRALE DE REIMS

L'homme qui murmurait à l'oreille des pelleteuses a dansé hier sur le parvis de la cathédrale !




Outre le bruit de la pelleteuse, les airs d'opéra de la Callas accompagnent le spectacle.







"À l’occasion de la livraison de la première ligne de tram, Le Manège propose un spectacle hors les murs « Transports exceptionnels » qui commence ici avec « transports » son périple dans la ville… C’est l’histoire d’un homme et d’une pelleteuse, un duo qui va s’épanouir dans le lieu monumental, prestigieux et choisi de la cathédrale. Ce bel environnement joue son rôle dans Transports exceptionnels même si le duo est tout à fait autonome car ce cadre donne une dimension spirituelle à la pièce qui tourne depuis 5 ans à travers plus de 30 pays. Cette proposition surprenante qui transcende l’âge, le milieu et les conditions sociales, devrait rappeler aux Rémois leur actualité, le quotidien des machines et des travaux… La relation de douceur entre l’homme et la machine est privilégiée. L’interprétation étonnante crée un certain anthropomorphisme, la machine devenant alors un être vivant, à mesure que le regard du public se transforme. Il est en effet troublant de confronter la fragilité du corps du danseur avec la mécanique d’une machine de 13 tonnes, et malgré la froideur du métal naît une relation. Tout se passe dans le non-verbal, c’est ainsi que le spectacle rassemble tous les publics par sa dimension « universelle » où chacun relie la machine à des images de l’enfance ou à une culture cinématographique. Il est une contamination entre l’homme et la machine, comme une envie d’aller l’un vers l’autre à travers une sorte de symbiose. Jean Baudrillard qui avait vu la pièce a parlé à son sujet de « labyrinthe des émotions »... C’est également un éloge de la modernité en quelque sorte où la machine n’est pas agressive et la pièce ne cède pas aux clichés anti-progrès. La machine aide en effet l’homme à construire, elle n’est pas convoquée ici pour son agressivité. C’est plutôt un hommage à l’outil de ceux qui construisent, produisent. Comme le rappelle le danseur Philippe Priasso : « Je propose une vision qui anoblit à travers un éloge du lyrisme et du romantisme. Deux morceaux de La Norma chantés par la Calas encadrent la pièce, car, avec un choix de musique industriel, cela collait trop au sujet, je suis donc retourné au lyrisme de l’opéra, créant ainsi de la distance ». Cette pièce fait écho à toute la transformation de la ville et aux travaux, changés ici par la poésie. En saluant l’arrivée du tram, ce spectacle devrait aisément nous transporter…"

Amandine Lefèvre




"Au début du spectacle qui dure 20 minutes, les spectateurs voient une machine, à la fin ils la croient vivante ."




et cette vidéo d'ailleurs......








http://www.ciebeaugeste.com/docs/philippe_priasso.pdf


http://www.manegedereims.com/


" Transports exceptionnels " c'est aussi dans les quartiers :

-Jeudi 1er avril à 18h30 place Luton

- vendredi 2 à 18h au Manège

- samedi 3 à 11h30 au Boulingrin et à 16h place Mozart

- mardi 6 à 17h30 place Jean Moulin

- mercredi 7 à 17h à l'Hippodrome

- jeudi 8 à 15h à l'espace Chalet

- vendredi 9 à 17h place des Argonautes


vendredi 26 mars 2010

LE VELO DE VICTOR ou VICTOR ET SON VELO

JOYEUX ANNIVERSAIRE VICTOR !





Marie Morel for ever .......
http://www.mariemorel.net/galerie-photo/






Et parmi les trés nombreux moyens mnémotechniquespermettant de retenir l'ordre des planètes du système solaire : Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune :


Même Vieux Truc Mais J'en Sais Un Nouveau.
Ma Vieille Tante Marie a Jeté Samedi Un Navet.
Ma Vieille Trompette Me Joue Son Ultime Nocturne.
Ma Voiture Te Mène Joyeusement Sur Une Nationale.
Marie, Viendras-Tu Manger Jeudi Sur Une Nappe ?
Me Voici Toute Mignonne, Je Suis Une Nébuleuse.
Me Voici Toute Modifiée, Je Suis Une Nouveauté.
Me Voilà Tout Mouillé, J'ai Suivi Un Nuage.
Mon Vieux, Tu M'as Jeté Sur Une Navette.
Mon Violoncelle Tombe, Mais Je Sauve Une Note.
Me Voici, Tonton Marcel, Je Suis Un Nageur.
Mais Va-T'on Manger Japonais Sur Une Navette ?
Mon Vélo Te Mènera Jusque Sur Un Nuage.





jeudi 25 mars 2010

ROUGE SOLAIRE



" Aux rétines scintillent térébinthes et mystères, les vignes aux fenêtres dévoilent le profus du monde, et du cheminement des lueurs dans la montagne jaillit puissant le flux de la nuit qui grenouille."

Patrick Lepetit

Rouge solaire

lundi 22 mars 2010

IZIS A L'HOTEL DE VILLE DE LA VILLE DE PARIS


Paris révèle Izis, un photographe oublié......



" On me dit souvent que mes photos ne sont pas réalistes. Elles ne sont peut-être pas réalistes, mais c’est ma réalité ».


"Izis, le photographe rêvé de Paris "



" Izis, photographe du spleen "


" Izis, Paris des rêves : une exposition pleine de poésie "
" poète, portraitiste et reporter"





"Izis : Paris du rêve, Paris rêvé "





Izis en résistance





"L'hôtel de ville de Paris présente une rétrospective de cet émigré juif lituanien devenu l'ami de Chagall.
Beau visage, profil noble, IZIS incarne avec élégance tout le charme de la vieille Europe centrale qui mêle courtoisie, virilité et un certain détachement. Ce photographe discret, caché sous le pseudonyme d'«Izis», qui pourrait évoquer la déesse égyptienne, ou, à défaut, une femme, est un homme posé qui fait face en égal à un monstre sacré. Boutonné jusqu'au col comme un écolier aux cheveux blancs, le sourcil hérissé et l'œil piqué de curiosité, Chagall l'écoute en son atelier du quai d'Anjou, le plus privé de l'île Saint-Louis, en 1969. Six ans plus tôt, le peintre n'a autorisé qu'Izis à le regarder travailler sur le plafond de l'Opéra de Paris. Et à le photographier, tout petit devant son grand œuvre. Une des deux rotondes de cette exposition «Izis» éclate du rouge triomphant de Chagall.
Izis, pseudonyme public comme un slogan et homme méconnu. Reporter de Paris Match élu par ce peintre rude et réputé sans partage. Ils sont là tous les deux à revivre comme des héros de Cocteau sous la voûte de la salle Saint-Jean de l'hôtel de ville, dans une exposition au fort parfum familial qui vise le grand public par ses accents sincères. Comment peut-on disparaître, corps et âme, dans le tintamarre de la célébrité ? C'est la question du sphinx que pose cet hommage sensible et décousu à Izis, dont le livre Le Paris des rêves, publié en 1950, fut réédité seize fois et vendu à 170.000 exemplaires, record qui laisse rêveur. Pourtant, aujourd'hui, qui, dans le monde de la photographie française, citerait Izis avant Doisneau, ­Cartier-Bresson, Lartigue ?
«Inconsolable mais gai.» C'est par une phrase de L'Hurluberlu d'Anouilh que son fils Manuel Bidermanas, cocommissaire tout en rondeur bougonne de l'exposition, décrit son père : «Homme angoissé, hanté par son passé, sans doute désespéré, mais pas amer, capable de voir ce qui est beau, d'avoir l'humour d'un pitre.» Né Izraël Biderman en 1911 dans une Lituanie misérable sous contrôle russe (le «z» de son prénom est dû à une erreur d'état civil), devenu Izraëlis Bidermanas à l'indépendance, en 1918, il est surnommé le «rêveur» à l'école hébraïque. C'est ce trait d'enfance qui frappe le plus dans cet accrochage d'un Paris d'adoption et mélancolique, en retrait du monde. Cette propension à la distance poétique, on la retrouve dans ses photos vagabondes sur les quais de Seine où les dormeurs s'enroulent autour des bornes d'amarrage, comme des blessés ou des lutins.Émigré sans le sou à Paris, exploité comme travailleur clandestin dans des laboratoires photographiques qui le laissent parfois dormir sur place, survivant en zone libre au moment où sa famille lituanienne est assassinée par les nazis, Izis est un héros triste à la Dickens. Son innocence est finalement récompensée. Ses portraits des maquisards, francs, nets, secrets, ont tous quelque chose d'un autoportrait."




Valérie Duponchelle



....et cette vidéo réalisée par Virginie Vaglio-Berne












" Jai vu Chagall travailler pendant des heures, puis se retirer, se mettre en arrière pour observer ce qu'il avait fait. On avait l'impression qu'il voyait cela pour la première fois, que cela avait été réalisé par un autre homme".

http://izis.paris.fr/izis.html

http://karavanepapou.blogspot.com/2010/02/izis-paris-des-reves.html





L’exposition "Izis, Paris des rêves" se tient à l'Hôtel de Ville de Paris

jusqu'au 29 mai 2010.

Ouvert tous les jours de 10h à 19h


Entrée libre.

A VOIR ABSOLUMENT .....